In girum imus nocte et consumimur igni

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dimanche 3 janvier 2016

G.C. - L'Yerres, effet de pluie (1875)
Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres, deux tableaux de pluie,  du peintre impressionniste, et mécène, français Gustave Caillebotte (1848-1894), passionné comme Monet de jardinage et d'horticulture.
Après l'obtention d'une licence en droit, il entre en 1871 à l'atelier de Léon Bonnat où il rencontre Jean Béraud (qui fera l'objet d'une future publication). Il fait ensuite plusieurs voyages à Naples chez son ami Giuseppe de Nittis qui l'avait présenté à Degas. En 1873, il fait la connaissance de Monet.

G.C. - Paris, temps pluvieux (1878)
Issu d'une famille très fortunée et sans autre souci que celui de s'adonner à ses passions - peinture, nautisme, horticulture -, Caillebotte n'introduit aucun discours moral ni social dans son oeuvre.
Présenté au Salon de 1875, son tableau aujourd'hui le plus célèbre, Les raboteurs de parquet, est refusé par le jury au motif qu'il donne à voir quelque chose de trop trivial, une scène de la vie trop ordinaire pour mériter d'être représentée par une oeuvre d'art.