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Z. S. - Autoportrait au foulard (1911) |
Elle part à Paris en 1924, où elle vivra jusqu’à sa mort, peignant en grande partie de mémoire ou lors de rares voyages.
Zinaïda Serebriakova peint d’abord ce qui l’entoure et ce dont elle se souvient : sa maison, ses enfants, la campagne russe. Elle est influencée par la Renaissance italienne autant que par les impressionnistes français, mais reste toujours à l’écart des courants, fidèle à sa propre sensibilité.
Zinaïda Serebriakova peint d’abord ce qui l’entoure et ce dont elle se souvient : sa maison, ses enfants, la campagne russe. Elle est influencée par la Renaissance italienne autant que par les impressionnistes français, mais reste toujours à l’écart des courants, fidèle à sa propre sensibilité.
Étant donné que - c'est logique - je ne publie ici que des artistes que j'aime ou/et qui m'intéressent, j'ai une fois de plus eu bien du mal à choisir les deux oeuvres de cette publication.
Parmi plusieurs autoportraits, dont un à la table de toilette que je trouve extrêmement moderne - j'ai finalement choisi celui-ci qui pourrait d'ailleurs être lui aussi celui d'une jeune femme bohème d'aujourd'hui...
Pour le second tableau, j'ai été très tenté par sa Terrasse à Collioure (sans doute aussi un autoportrait si l'on en juge par la présence du carton à dessins), mais finalement ce sera ce tableau que j'aime beaucoup d'un beau panier de sardines.
Parmi plusieurs autoportraits, dont un à la table de toilette que je trouve extrêmement moderne - j'ai finalement choisi celui-ci qui pourrait d'ailleurs être lui aussi celui d'une jeune femme bohème d'aujourd'hui...
Pour le second tableau, j'ai été très tenté par sa Terrasse à Collioure (sans doute aussi un autoportrait si l'on en juge par la présence du carton à dessins), mais finalement ce sera ce tableau que j'aime beaucoup d'un beau panier de sardines.