In girum imus nocte et consumimur igni

In girum imus nocte et consumimur igni
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dimanche 29 octobre 2023

Gilbert Garcin - Le moulin de l'oubli (1999)
Le vide-grenier du dimanche. Où Beckett dialogue avec Tati... 
Deux "photosophies" du provencal Gilbert Garcin (b.1929). 
La Croix en parle ICI.

G. G. - Changer le monde (2001)








La photographie me permet de m'exprimer. Elle est devenue pour moi le moyen de m'exprimer avec le plus de liberté. Elle me permet de raconter mes histoires, mes émotions, mes doutes, mes colères, mes peurs. Elle me permet de dire des choses qui me tiennent à coeur et que je ne pourrais pas dire autrement.

samedi 28 octobre 2023

Alfred Siefert - Hypathia (av.1892)

Une image et des mots. Une oeuvre du peintre germano-bohémien Alfred Siefert (1850-1901).

dimanche 22 octobre 2023

Carel Willink - La maison jaune (1934)
Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres du néerlandais Carel Willink (1900-1983), déjà présenté en octobre 2010.

C.W. - Nouvelles de l'emploi (1952)
ML12

ICI

dimanche 15 octobre 2023

L.Goldsmith - Patti Smith (1976)
Le vide-grenier du dimanche. Deux clichés de la photographe américaine Lynn Goldsmith (b.1948). Diplômée magna cum laude de l'Université du Michigan et Langue et Littératures anglaises et en Psychologie, Lynn Goldsmith est surtout connue pour ses portraits des célébrités du rock.

L.G. - Bob Dylan, NYC (1983)

À l'occasion d'une publication sur Jim Marshall de novembre 2017, j'avais mentionné qu'elle était l'auteur d'un de mes portraits préférés de Dylan ; le voici.
LF2

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samedi 7 octobre 2023

Frédéric Barzilay - Raies (1950)
Une image et des mots. À ce cliché de Frédéric Barzilay j'ai d'abord pensé associer quelques lignes du philosophe Emmanuel Levinas, celui qui écrivait "Autrui est visage.."
Mais finalement j'ai choisi ce petit texte de Jacques Dupin (1927-2012), extrait de Gravir.

Quand marcher devient impossible, c'est le pied qui éclate, non le chemin. On vous a trompés. La lumière est simple. Et les collines proches.
Si par mégarde cette nuit je heurte votre porte, n'ouvrez pas. N'ouvrez pas encore. Votre absence de visage est ma seule obscurité.

JP4 ICI