Georg Nicolai Achen - Intérieur (1911) |
Pour aller avec, j'ai pensé à ce poème de Juarroz:
Un reflejo en la pared
despierta a una palabra
que funda nuevamente al infinito.
Porque también el infinito muere
o se repliega entre paréntesis
Y sólo un punto de luz o su reflejo
puede instaurarlo de nuevo.
Ningún infinito
despierta a otro infinito.
***
Un reflet sur le mur
éveille une parole
qui fonde nouvellement l'infini.
Parce que l'infini aussi meurt
ou se replie entre parenthèses.
Et seul un point de lumière ou son reflet
peut l'instaurer de nouveau.
Aucun infini
n'éveille un autre infini.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire