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In girum imus nocte et consumimur igni
dimanche 6 décembre 2020
samedi 5 décembre 2020
Slava et sa troupe (1993) |
Sans penser à une oeuvre en particulier, elle m'a immédiatement évoqué, assez logiquement sans doute, l'univers de Beckett.
Puis je me suis souvenu d'un livre d'Émile Faguet paru en 1910 sous le titre Le culte de l'incompétence et dont voici un court extrait:.
"Quels seraient donc les remèdes que l'on pourrait apporter à cette maladie moderne, le culte de l'incompétence intellectuelle, le culte de l'incompétence morale ? [....] On pense bien que je n'en vois aucun, puisque nous avons affaire à un mal qui ne peut être guéri que par lui-même, et à un mal qui se chérit".
dimanche 29 novembre 2020
Jozef Israëls |
Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres du peintre hollandais Jozef Israëls (1824-1911), fondateur de l'École de La Haye, admirateur de Corot et de l'École de Barbizon. Il est le père d'Isaac Israëls, présenté ici en novembre 2015.
Venu à Paris en 1845, il y suit l'enseignement du peintre néo-classique François-Édouard Picot; il s'illustrera par une peinture réaliste sociale en dépeignant notamment les déshérités d'Amsterdam.
Jozef Israëls - Jeune fille cousant |
dimanche 22 novembre 2020
B. Barbey - Portugal (1993) |
B.Barbey - Koweit (1990) |
Formé aux arts visuels au Centre d'Enseignement Professionnel de Vevey, en Suisse, Bruno Barbey a travaillé sur tous les continents, et il a couvert d'innombrables conflits autour du globe. Pourtant, il ne se considère pas comme un photographe de guerre, mais comme un témoin d'un monde en mutation où les traditions et les cultures disparaissent rapidement et qu'il photographie pour "documenter pour la postérité".
samedi 21 novembre 2020
R. Mutter - The wasteground wanderer |
Une image et des mots. Diplômé de la Glasgow School of Art, imprégné par l'atmosphère des chantiers navals autrefois prospères et aujourd'hui sinistrés, l'écossais Ryan Mutter (b.1978) rend compte de l'héritage industriel britannique et de sa connexion avec la mer.
Sait-on jamais ce que c'est. Ce va-et-vient aux abîmes est un trajet solitaire. Ceux qui remontent de ces gouffres se sont cherchés sans se rejoindre. Seule, la cruauté du jour rassemble leur troupeau errant. Ils renaissent douloureusement et se retournent : la nuit a effacé la trace de leurs pas. Les ivresses, si contagieuses, sont incommunicables.
Antoine Blondin, Un singe en hiver (1959)
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