SR2 |
In girum imus nocte et consumimur igni
dimanche 2 décembre 2018
samedi 1 décembre 2018
Edward S. Curtis - Eclipse dance (c.1910) |
You air that serves me with breath to speak !
You objects that call from diffusion my meanings and give them shape !
You light that wraps me and all things in delicate equable showers !
You paths worn in the irregular hollows by the roadsides !
I believe you are latent with unseen existences, you are so dear to me.
***
Toi, air qui me fournis le souffle pour que je parle !
Vous, objets, qui empêchez mes pensées de se disperser et qui leur donnez forme !
Toi, lumière, qui m’enveloppes, moi et toutes choses, dans ton flot délicat et égal pour tous !
Vous, sentiers tracés par les pas dans les creux irréguliers au bord des routes !
Je crois que vous êtes secrètement chargés d’existences invisibles, vous m’êtes si chers.
dimanche 25 novembre 2018
W.E. Smith - Pride Street, Pittsburgh (1955) |
Le vide-grenier du dimanche. Deux clichés du photographe américain W. Eugene Smith, déjà présenté en janvier 2010, deux panneaux indicateurs de rues dans la ville de Pittsburgh.
A photo is a small voice, at best, but sometimes - just sometimes -, one photograph or a group of them can lure our senses into awareness.
Much depends upon the viewer; in some, photographs can summon enough emotion to be a catalyst to thought.
dimanche 18 novembre 2018
A.G. - London flower girl (1892) |
Mais j'ai choisi pour cette publication deux toiles bien différentes, et pas seulement pour des raisons esthétiques même si bien sûr elles me plaisent aussi à cet égard.
La première me rappelle un film d'un de mes cinéastes favoris, George Cukor, tiré d'une pièce de George Bernard Shaw.
Ce film, My fair lady (1964), raconte l'histoire d'Eliza Doolittle, une petite marchande de fleurs de Covent Garden - jouée par Audrey Hepburn (qui, en passant, porte des robes créées par Cecil Beaton) -, qu'un prof prétentieux raille pour sa façon de s'exprimer avant de faire le pari de la transformer en "lady".
Le second me fait penser au "Compleat angler" du bon Izaak Walton, que je suis heureux de posséder dans une bien jolie édition, et dans lequel il est dit cette chose merveilleuse que les rivières et leurs hôtes sont là pour que les sages les contemplent et que les fous les ignorent.
Ce film, My fair lady (1964), raconte l'histoire d'Eliza Doolittle, une petite marchande de fleurs de Covent Garden - jouée par Audrey Hepburn (qui, en passant, porte des robes créées par Cecil Beaton) -, qu'un prof prétentieux raille pour sa façon de s'exprimer avant de faire le pari de la transformer en "lady".
Le second me fait penser au "Compleat angler" du bon Izaak Walton, que je suis heureux de posséder dans une bien jolie édition, et dans lequel il est dit cette chose merveilleuse que les rivières et leurs hôtes sont là pour que les sages les contemplent et que les fous les ignorent.
Inscription à :
Articles (Atom)
JP4 ICI
-
Fresque, monastère de Decani (14e) Une image et des mots. L'image, c'est un détail d'une fresque du 14e siècle représentant la ...
-
J. Sloan - Hairdresser's window (1907) Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres du peintre américain John Sloan (1871-1951), déjà prés...