Giuseppe de Nittis - Passa il treno (c.1878) |
G.de N. - Dall' alto della diligenza (c.1872) |
J'aime beaucoup l'originalité de ses compositions. Du train dont parle le premier tableau on ne voit que le panache. Et le second nous donne à voir une longue route qui s'étire au loin dans un paysage imprécis, depuis un attelage dont ne voit que les encolures... Le vent du paradis, dit un proverbe arabe, souffle entre les oreilles des chevaux.