In girum imus nocte et consumimur igni

In girum imus nocte et consumimur igni
eiπ + 1 = 0
Affichage des articles dont le libellé est james nachtwey. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est james nachtwey. Afficher tous les articles

dimanche 15 août 2021

James Nachtwey - Kaboul, Afghanistan (1996)
Le vide-grenier du dimanche. Deux clichés du photographe de guerre américain James Nachtwey.
Né en 1948, il débute sa carrière dans les années 1970, se faisant rapidement connaître pour son courage et son engagement à couvrir des événements tragiques dans les régions les plus dangereuses du monde.

J.N. - Kaboul, Afghanistan
(1996)



Une femme pleure son frère tué par les talibans lors du siège de Kaboul en 1996, une autre erre dans les ruines du quartier des affaires, dans le centre de la capitale afghane à la même époque.
Depuis plus de 40 ans, James Nachtwey documente les guerres, les catastrophes et les famines; il donne à voir l'insupportable avec des photos sublimes. Ses images, qui constituent un témoignage puissant des réalités les plus dures de notre époque, appellent à une réflexion sur les injustices et la souffrance humaines.
"I hope my archive will inspire future generations to approach the world with the same global perspective and concern for human dignity and social justice that I have sought to convey through my work".

dimanche 31 mars 2019

D. Etter -  Laith Majid, réfugié iraquien (2015)
Le vide-grenier du dimanche. Deux clichés du photojournaliste allemand Daniel Etter (b.1980), diplômé en sciences politiques de l'Université de Bonn et lauréat du Prix Pulitzer.
Le premier, Laith Majid, un réfugié iraquien fuyant Bagdad, qui fond en larmes en arrivant sur l'île de Kos, tenant dans ses bras son fils Taha et sa fille Nour.

D.E. - Migrantes nigériennes (2016)



Le second, deux migrantes nigériennes dans un centre de détention pour réfugiés à Surman, en Libye. Des centaines de femmes y vivent dans des conditions précaires, ayant pour la plupart d'entre elles tenté de rejoindre l'Europe en traversant la Méditerranée.
Daniel Etter commence sa carrière en 2010, d'abord en documentant les inégalités sociales en Inde, puis les conflits au Moyen-Orient.
En 2001, j'ai vu le documentaire "War photographer" sur James Nachtwey. À l'époque âgé de 20 ans, j'ai été profondément inspiré par ce film, et j'ai alors su que je voulais poursuivre la même carrière.