In girum imus nocte et consumimur igni

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dimanche 1 février 2015

A. Wahlberg - Partie de Stockholm (1892)
Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres du peintre paysagiste suédois Alfred Wahlberg (1834-1906), déjà publié en mai 2010. Il commence par faire des études de musique à l'Académie Royale de Suède puis, à l'âge de 23 ans, il part en Allemagne pour y suivre l'enseignement de Hans Fredrick Gude à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf.

Alfred Wahlberg
Repos de la jeune fille sur l'herbe (1878)


De retour en Suède en 1862, il reste quatre ans à Stockholm avant de partir s'installer à Paris où il va rapidement acquérir une belle renommée.
Le premier tableau, dont le sous-titre est "Clair de lune", révèle son goût, né sans doute de son éducation musicale, pour les atmosphères empreintes d'un romantisme délicatement lyrique et propice à la rêverie.
Les rêveurs, disait Oscar Wilde, sont ces hommes qui ne trouvent leur chemin qu'au clair de lune et qui comme punition aperçoivent l'aurore avant le reste du monde.

samedi 22 mai 2010

A. Wahlberg - Clair de lune à Fjällbacka (1868)
Une image et des mots. Un tableau du peintre suédois Alfred Wahlberg (1834-1906), sur qui j'aimerais revenir dans une prochaine publication.
Ce paysage me fait penser à un poème de Tennyson, Ulysse, écrit en 1833 et dont voici un extrait  :

Venez mes amis
Il n'est pas trop tard pour partir en quête
D'un monde nouveau
Car j'ai toujours le propos
De voguer au-delà du soleil couchant
Et si nous avons perdu cette force
Qui autrefois remuait la terre et le ciel
Ce que nous sommes, nous le sommes ;
Des coeurs héroïques et d'une même trempe
Affaiblis par le temps et le destin
Mais forts par la volonté
De chercher, lutter, trouver, et ne rien céder.