André Brasilier - Les chevaux du soleil |
Formé au Beaux-Arts dans l'atelier de Maurice Brianchon, où il entre à l'âge de 20 ans, et Premier grand prix de Rome quatre ans après en 1953 (son frère Jean-Marie sera aussi Premier grand prix de Rome en 1957, mais en architecture) Brasilier sera de 1954 à 1957 pensionnaire à la Villa Médicis.
Attaché à la composition, indispensable selon lui pour que le tableau "tienne", il soutient que la peinture n'a pas à être réaliste mais qu'elle est une transfiguration du réel ; il qualifie son art de "transfiguratif" et revendique Paul Gauguin comme étant son "père spirituel".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire