Käthe Kollwitz - Les survivants (1923) |
Et pour l'accompagner, une simple phrase : "on voudrait être un baume versé sur tant de plaies". Il s'agit de la dernière ligne de Une vie bouleversée, le journal d'Etty Hillesum, gazée à Auschwitz le 30 novembre 1943. Michel Terestchenko lui consacre un chapitre dans son livre Un si fragile vernis d'humanité.
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