In girum imus nocte et consumimur igni

In girum imus nocte et consumimur igni
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dimanche 22 janvier 2023

A.B.S. - The garbage truck...

Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres de l'artiste suédoise Anette Björk Svensson (b.1956), déjà présentée ici le 19 septembre 2021.

A.B.S. - Now that the evenings

I often paint the familiar, the everyday that I have around me. [....] Everyday is an opportunity to create something exciting. I just have to pay attention to every moment and give myself time to discover the excitement that exists in everyday life. It can be a line, a light inlet that creates patterns or a beautiful colour that stands out...
Pour découvrir, le travail d'Anette Björk Swensson, c'est ICI.

TW7
ICI

dimanche 15 janvier 2023

dimanche 8 janvier 2023

David Gentleman
Primrose Hill under snow (1968)

Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres du peintre et illustrateur anglais David Gentleman (b.1930). Formé à la St. Alban Arts School et au prestigieux Royal College of Art de Londres par Edward Bawden et John Nash, il commence sa carrière dans l'illustration et la gravure sur bois, mais s'adonnera aussi à l'aquarelle, à la peinture murale (voir à Londres la décoration murale du quai de métro de la Northern Line à la station de Charing Cross), et à l'illustration de livres ou la création philatélique et de logos.

D.G. - Suffolk garden under snow
(2020)
Drawing things makes them seem more real and makes me feel more alive. It also makes me pin down and remember things - landscapes, season, weather, occasions, incidents, people -, that would otherwise have melted from my memory.

FH1
ICI

samedi 7 janvier 2023

Jeune mère Yanomami
Une image et des mots. L'auteur de ce cliché m'est inconnu, les mots sont du psychiatre et psychologue des profondeurs suisse Carl Gustav Jung (1875-1961), pour qui tous les organismes partagent un même "substrat universel" d'où naissent toutes les pensées et toutes les émotions.

À mesure que la connaissance scientifique progressait, le monde s'est déshumanisé. L'homme se sent isolé dans le cosmos, car il n'est plus engagé dans la nature et a perçu sa participation affective inconsciente, avec ses phénomènes. Et les phénomènes naturels ont lentement perdu leurs implications symboliques. Le tonnerre n'est plus la voix irritée d'un dieu, ni l'éclair son projectile vengeur. La rivière n'abrite plus d'esprits, l'arbre n'est plus le principe de vie d'un homme et les cavernes ne sont plus habitées par des démons. Les pierres, les plantes, les animaux ne parlent plus à l'homme et l'homme ne s'adresse plus à eux en croyant qu'ils peuvent l'entendre. Son contact avec la nature a été rompu, et avec lui a disparu l'énergie affective profonde qu'engendraient ses relations symboliques.
C.G. Jung, L'Homme et ses symboles (1961).

Markus Hartel - Sans titre Une image et des mots.  Aborder le sujet des idées, c'est rapidement traiter de leur échange et de leur parta...