In girum imus nocte et consumimur igni

In girum imus nocte et consumimur igni
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dimanche 28 juin 2015

Olli Kekäläinen - Echoes (2012)
Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres du photographe finlandais Olli Kekäläinen.

O. Kekäläinen - A sparse bunch (2012)














Je n'en sais pas plus aujourd'hui qu'il y a deux ans (voir publication de février 2013), mais Olli Kekäläinen est tellement sympathique que c'est avec plaisir que je le présente à nouveau. Pour voir plus de son oeuvre sans en savoir plus sur lui, c'est ICI.
PV1
ICI

dimanche 21 juin 2015

W. G. - Chant des hirondelles (nd)
Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres de Wu Guanzhong (1919-2010). né dans la province côtière de Jiangsu, considéré comme l'un des plus grands peintres chinois contemporains.

Wu Guanzhong - Rizières (nd)
Après avoir fait des études d'ingénieur il se tourne définitivement vers la peinture et suit l'enseignement du grand maître Lin Fengmian; comme lui, il part ensuite en France, en 1947, pour y étudier l'art occidental à l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts. Il y découvre Braque, Cézanne, Utrillo, Van Gogh...
Il revient en Chine en 1950 et ne cessera jamais de produire, malgré la condamnation de son travail par la Révolution Culturelle.
PF5
ICI

samedi 20 juin 2015

Sans titre

Une image et des mots. J'ignore l'origine de cette photo.
Les mots sont extraits de l'essai de Georges Bernanos, La France contre les robots, publié en 1947.

Dans la lutte plus ou moins sournoise contre la vie intérieure, la Civilisation des Machines ne s'inspire, directement du moins, d'aucun plan idéologique, elle défend son principe essentiel, qui est celui de la primauté de l'action.
La liberté d'action ne lui inspire aucune crainte, c'est la liberté de penser qu'elle redoute.

dimanche 14 juin 2015

JJ. S. - Study for a Madonna and child (1892)
Le vide-grenier du dimanche. Deux oeuvres de l'anglo-américain, d'ascendance irlandaise, Sir James Jebusa Shannon (1862-1923). 

JJ. Shannon - Rêverie (1898)
Venu à Londres dès l'âge de 16 ans pour y y étudier au Royal College of Art, il devient avec son compatriote John Singer Sargent l'un des portraitistes les plus réputés de la période Edwardienne.
Il sera en 1891 - avec les préraphaélites Collier et Millais, avec Sargent et une vingtaine d'autres peintres anglais ou américains -, parmi les fondateurs en Angleterre de la Royal Society of Portrait Painters. En 1922 il renonce à la nationalité américaine pour être anobli.