Une image et des mots. Il y a dans l'aberrante beauté du "flamenco" (avec beaucoup de guillemets) d'Israel Galván, fragments de danse dans la danse, un je-ne-sais-quoi qui fait penser au monde de Beckett, des "
lambeaux regagnés sur le néant complet", pour reprendre les mots d'Artaud dans l'une de ses lettres à Jacques Rivière. "
Lorsque je peux saisir une forme, dit encore Artaud dans cette même lettre,
je la fixe,
dans la crainte de perdre toute pensée"...
ICI
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La Curva, au Festival de Jerez en 2012 |
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